Le 24 avril dernier, la CBL-ACP a organisé un webinaire captivant mettant en lumière les réalités des investissements étrangers à Maurice. Les participants ont été guidés à travers une présentation détaillée des avantages et des inconvénients que cette île de l’Océan Indien a à offrir, malgré sa petite taille, Maurice offre un potentiel considérable pour les investisseurs. Le Belgium Mauritius Business Club sert de point de départ pour les Belges intéressés par les opportunités d’affaires à Maurice.
Michel Moreau, installé depuis 17 ans à Maurice et représentant permanent de la Chambre sur place, a partagé son expertise lors de l’événement. En tant que membre actif du Belgium Mauritius Business Club, en partenariat avec la CBL-ACP, il a mis en lumière l’importance cruciale de cette collaboration dans le développement des relations commerciales entre la Belgique et Maurice. Il nous a aussi parlé de l’Economic Development Board (EDB Mauritius) pour expliquer les efforts du gouvernement mauricien pour faciliter l’installation des investisseurs étrangers et promouvoir les échanges commerciaux.
La signature récente d’un partenariat commercial lors du forum d’affaires en Belgique souligne l’engagement croissant des deux pays à renforcer leurs liens économiques.
Maurice cherche activement des experts dans des secteurs clés tels que l’agro-industrie, l’industrie créative, l’éducation, les services financiers, et bien d’autres. Avec un PIB régional en croissance et une économie diversifiée, l’île est une plaque tournante stratégique pour les investissements en Afrique. Malgré certains défis, tels que le vieillissement de sa population, Maurice demeure un choix attrayant pour les investisseurs grâce à son environnement politique stable et ses initiatives innovantes telles que les villes intelligentes.
Philippe Gysemans a souligné l’engagement de Maurice envers un climat des affaires favorable, avec des réglementations transparentes et un accord de non-double imposition avec la Belgique.
Enfin, la CBL-ACP a annoncé une conférence à venir sur les transactions financières entre l’Europe et l’Afrique, soulignant ainsi son engagement continu à faciliter les échanges économiques entre les deux continents.
